Départ à pied pour le ravitaillement.

Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 27/10/2008

C'est pas comme ça que ça marche...

Tifa fit à nouveau quelques pas vers l'armoire et entreprit de l'écarter du mur. Après un effort plus ou moins difficile, elle réussit à créer un espace de quelques centimètres entre le mur et l'armoire. Elle jeta un regard satisfait aux autres, son père pensait toujours à tout. D'un geste de la main, elle sortit de la cachette tout d'abord de nombreux paquets de chips mais, armée oblige, ils furent très vite suivis par des conserves en tout genre, des repas déjà cuisinés mais extrêmement pas bon et des pâtes, puis du riz. Après quelques instants pendant lesquelles elle vida tout ce qu'il y avait dans la cachette sur le sol, elle se tourna à nouveau vers les autres, et, voyant leur regard à la fois surpris et dubitatif, elle dit, comme pour se justifier :

Mon père était à l'armée... la survie c'était la clé de tout. La première chose qu'on apprend à l'armée, c'est protéger les provisions... sans nourriture, il n'y a pas de survie.

Dépliant la toile qui lui servait de sac, Tifa entreprit de ranger toutes les réserves qu'elle avait trouvées, cela ferait quand même pour pas mal de temps, s'ils continuaient à contrôler.

Umbriel entreprit d'aider les autres à ranger les provisions dans la toile, mai une profond douleur partant du bras et lui arrivant au cerveau l'en empêcha. Il saisit l'endroit de l'ancienne blessure avec la main et se retint de poussé un cri de souffrance. Eliyah remarqua tout de même qu'Umbriel n'aller pas bien.

Nombre de messages : 72 Date d'inscription : 08/10/2008

Aleyna remarqua aussi la souffrance que ressentait Umbriel vis à vis de son ancienne blessure.

Bon il faut sortir d'ici, de toute façon on a ce qu'on voulait de la nourriture pour quelques temps, alors partons vite avant de se faire repérer.

Tifa referma le drap avec un vieil élastique qu'elle avait emporté, mais quand celle-ci fit un pas avec ce sac sur le dos, il se déchira et toute les provisions tombèrent à terre. Le poids des boîtes de conserves avaient fait céder les mailles du drap. Soudain un coup retentit.

BANG !

Puis le son d'une chute d'objet se fit entendre, comme si des bibelots ou autre s'écraser au sol. Visiblement il y avait un combat à l'étage.

Fait chier ! S'énerva Umbriel en voyant les conserves à nouveau au sol suivit du bruit provenant de l'étage.

Faites vite ! Prenez tout ce que vous pouvez dans vos bras ! ... On se barre !

A ses mots, le jeune homme s'écroula au sol et s'empressa de charger ses bras de conserves, le reste du groupe suivit son mouvement. Le jeune homme s'affaira tandis qu'il serrait le dents encore sous le coup de la douleur. Son bras lui faisait atrocement mal, c'était mauvais signe...

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